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Savoir qu’il faut sans cesse renaître à soi-même

Semer sur les cendres

S’allier les cicatrices

Savoir qu’on n’en finit plus d’exister

Sauf à se fuir 

À renoncer 

Michel Rheault

Si jamais la musique...

Mot de bienvenue

 

Bonjour tout le monde ! Et bienvenue sur ce site, auquel je songeais depuis pas mal de temps, mais que je n’imaginais pas mettre en ligne si tôt...

 

Pour la petite histoire, disons qu’il m’a suffi d’esquisser au printemps 2019 les grandes orientations d’un projet musical à long terme – dont je reparlerai le moment venu – et d’exprimer à voix haute par la même occasion mon intention de m’activer éventuellement sur le Web (mais plus tard, dans quelques années), pour qu’en moins de quarante-huit heures je me retrouve avec ce site sur les bras ! Un superbe cadeau signé Lucas Prud’homme-Rheault, mon fils, qu’il venait de concocter subito presto avec le soutien de son compagnon, Pierre-Olivier Gaumond, et de sa mère, Johanne Prud’homme. Une affaire de famille, donc... Comme plusieurs des grandes affaires de ma vie !

 

Dès le départ, il fut convenu que la diffusion de ce site allait demeurer confidentielle pendant quelques années... Certes, il serait accessible à qui tomberait dessus par hasard, mais rien ne serait fait pour le rendre visible avant le jour, encore lointain, où je pourrais y consacrer le temps voulu. En termes clairs : je prévoyais le publiciser autour de 2024 et d’ici là, par petites touches, parachever sa construction avec l’aide de mes complices.

 

Ça, c’était il y a neuf mois. J’avais alors sur le feu, depuis longtemps, un projet d’écriture qui cherchait sa forme. Je marchais à tâtons : impossible de croire que j’allais bientôt « trouver ». Ce serait pourtant le cas ! Une première retombée du site ? En grande partie, oui... Avoir sous les yeux, en quelques  pages, un concentré de mon passé allait réactiver un ressort somnolent. Très bientôt, j’aurais sur ma table de travail un manuscrit terminé : cet essai autour de la figure de Renée Fleming auquel je travaillais depuis des lustres. Et pour faire de ce texte un livre, l’enthousiasme de monsieur Guy Champagne, mon éditeur et ami, et le soutien de l’équipe du Groupe Nota bene – Isabelle Tousignant en tête – qui abrite notamment en son antre les éditions Varia. Un nouveau livre : un cadeau de plus.

 

Du coup – il s’agissait d’être logique –, plus question de laisser le site en suspens. Sauf que la borne approximative que je m’étais fixée, 2024, n’était pas précisément à portée de la main ! Où trouver le temps d’entretenir dès maintenant ce qui ne devait l’être que plus tard ? 

 

J’ai choisi de ne me manifester en ces lieux que peu souvent, mais avec la presque régularité d’un métronome. Une fois par mois, je vous donnerai de mes nouvelles via le présent Journal. Je vous parlerai musique, théâtre, littérature, enseignement peut-être... Par ailleurs, de façon ponctuelle, au gré de mes envies, je meublerai les autres pièces de ma maison virtuelle de documents d’archives : textes, photos (pas souvent), musiques. Évidemment, je vous donnerai aussi de mes nouvelles lorsqu’il y aura... du nouveau ! De votre côté, si vous le souhaitez, il ne faudra pas hésiter à m’écrire. Après tout, maintenant, vous connaissez le chemin !

 

Au plaisir,

Michel 

 

P.-S. À qui se demande si j’accepterai un jour de rejoindre tout à fait mon siècle et de m’inscrire sur Facebook, Twitter, Instagram et tutti quanti, je répondrai que ça viendra... peut-être. Mais pas tout de suite. De toute manière, les plateformes qui composent actuellement le cœur des réseaux sociaux ne seront-elles pas bientôt obsolètes ? C’est déjà si vieux, tout ça... J’aurais peur de ne pas être dans le coup... Je préfère encore attendre, peinard, que la modernité se rende jusqu’à moi ! 

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